jeudi, avril 19, 2007

Hann....
J'ai l'impression que j'suis maudite...
Genre je trouverais jamais quelqu'un et je pourrirais dans cette maison jusqu'à la fin de ma vie en célibataire solitaire et j'élèverais les gosses de ma cousine pour combler le manque de gamin...
Et merde...
J'ai d'ces phobies des fois..
XD

mardi, avril 03, 2007

Je ris pas à en pleurer.
Je pleure à en rire.

Comme quoi, les choses simples de la vie, une lettre, un baiser, un sourire sur un visage, une main enfoncée dans un sac de pois, y'a que ca qui suffit à nous rendre heureux. Heureux au point de se rendre compte de sa connerie, et d'en pleurer, d'en pleurer à en rire. Pour la première fois de sa vie. On s'imagine pas pleurer devant ce genre de film. En pensant qu'on a même pas pleuré devant Titanic...enfin, en même temps on avait 6 ans et un film de 3 heures c'était à peine supportable...
Bref, tout ça pour dire que;
Ca sert vachement à rien de prendre quelqu'un en grippe sous n'importe quel prétexte. Sur le coup, on se surprend à se promettre que dorénavant, tous les gens qu'on rencontrera, on les rendra heureux, de n'importe quelle façon. Et on se rendra heureux, en se levant le matin avec une voix chantant "everyobdy's gonna love today, anyway you want to, anyway you've got to", en se réconfortant en se disant que "big girl, you are beautiful"♥.
On a beau trouver tous les défauts du monde chez les gens qu'on aime, on les aime quand même. Alors pourquoi pas les rendre heureux, ça nous coûte rien du tout...Parce qu'à la fin, on a que ce qu'on mérite.

vendredi, décembre 08, 2006

Imagine...

[Strawberry Fields]
Forever

lundi, novembre 27, 2006

Je suis soulante, gonflante et on ne me fait pas confiance.
Merci, la famille.

Et pendant ce temps...

Je calque ma vie sur mes parents;
Je tricote, comme ma mère, et je cuisine, comme elle. Je me mets à aimer la vaisselle, et à devenir gauchère, comme elle. Je recouds mes manteaux, pour me dire que je suis comme elle, et je laisse trainer des épingles à nourrice partout. Je porte les bagues de sa propre mère, et je lis à l'envers comme elle. Je porte un collier parce qu'elle avait le même.
Je joue de la musique pour mon père, et je deviens maniaque en posant la table. Parce que lui aussi faisait comme ça. Je fais la salade comme il l'aimait, et je passe la balai juste parce que c'est lui qui me l'a appris comme ça. J'écris comme lui, comme si c'était quelque chose d'héréditaire, et je lis le journal comme lui. Je mange de la soupe, tous les jours, comme lui. Je porte des lunettes, comme lui. Je repeins ma chambre en vert parce qu'il aimait cette couleur. Je mange des poires parce qu'il aimait ça, les poiriers.

Au fond, je leur ressemble, ou j'essaye de le faire. Mais c'est ça la seule chose qui me satisfait...

Tout ça parce qu'ils me manquent. Enormément. Plus que personne ne le pense.

samedi, novembre 04, 2006





[ à quelques exceptions près, bien entendu. ils/elles savent qui ils sont ]

jeudi, novembre 02, 2006

S'il vous-plaît, laissez moi rêver encore un peu. Laissez-moi me sentir bien avec des gens que j'aime. Me faire des idées pas possibles. Des illusions. Mais ne me demandez pas de redescendre sur terre.

Du moins, pas avant lundi, 8h...

Voilà, j'ai eu une semaine de décompression complète, loin de tous les gens qui partagent ma vie en cours, ma 2e famille imposée, et moi qui suis toute triste avec eux, en repensant à mon ex-2e famille.
Personne, à quelques exceptions près, de la même école que moi, ça fait du bien. Retour aux sources, avec des personnes que j'apprécie vraiment.

Et puis, il y a lui, un tout nouvel ami, avec qui on se marre bien, merci Lola, merci Mao. Et c'est là que je retrouve à nouveau le bonheur d'avoir une vie sociale (enfin, sur MSN, mais bon, c'est pareil...), de rencontrer des gens de mon âge, avec qui je m'entends vraiment bien, pas besoin de faire les manières des snobinard campagnards de notre classe, bande de faux-culs, hypocrites, tous ligués ensemble.

On rigole, on invente des délires pas possibles...et c'est là que quelqu'un vient frapper sur la bulle dans laquelle vous êtes et nous dit d'atterir, de redescendre sur Terre.

Et c'est là qu'on réalise que juste le temps de vacances, on a voulu se couper du monde, se sentir bien.


Minuit est passé, Cendrillon doit s'en aller...

mercredi, novembre 01, 2006

Faites que le solo de Bohemian Rhapsody dure éternellement. Carrément la chanson. Toute ma vie défile dans cette chanson quand je l'écoute/la joue. Ma période la plus joyeuse, et la plus solitaire en même temps. Et maintenant toute l'évolution qu'il y a eu.
Parce que Bohemian Rhapsody, c'est pas juste un morceau appris au piano sur 2 ans, je l'ai juste tout le temps jouée, en pleurant, et riant, en étant pressée, en étant crevée, en étant à peine réveillée, en cuisinant.

Il y a un an, très excatement, je vivais au rythme de Freddie Mercury, et je me peignais les ongles en noir. Comme Chris. Pendant ce temps, le jour d'Halloween, Pierre m'a fait la promesse de passer...un an après et j'atends toujours, en me disant que cette année ca serait la bonne.

Alors avec toute la nostalgie qui se doit, j'ai vu une année défiler devant mes yeux. J'ai vu la perte de Chris et de Pierre, j'ai vu mon incapabilité de remettre du vernis. Les gens que j'ai rencontré. Les "éventuels" par-çi, par-là. Un énorme changement.


Alors, à tous ces gens que j'ai perdus de vue, je dirais :


"Goodbye everyobdy, I've got to go. Gotta leave you all behind, and face the truth..."



Donc, Bohemian Rhpasody+Freddie+vernis noir+Chris+octobre/novembre 2005+Pierre=une des plus belles époques de ma vie

L'équation est simple.